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Album

  • 24

    Parcours touristique de Bouleternère

    Parcours touristique de Bouleternère

    Pour cette série de photos, j'ai choisi de suivre le parcours touristique proposé par le fascicule distribué par la Mairie de Bouleternère intitulé : PARCOURS BOULETERNERE "Ecoutez-bien. A une lieu d'ici, au pied de la montagne, il y a un village qui s'appelle Bouleternère..." Prosper Mérimée, La Vénus d'ILLE, 1837.
  • 56

    Promenades dans Bouleternère

    Promenades dans Bouleternère

    Photos prises lors de mes flâneries dans Bouleternère. Cette série de photos vient en complément de celles que j'ai prise pour le parcours touristique de Bouleternère. 
  • 21

    Les fontaines de (et autour de) Bouleternère

    Les fontaines de (et autour de) Bouleternère

    Dans cette série de photos, je n'ai pas mis la Font d'en Fric ni la Font St Jules du fait que c'est sur le territoire d'Ille sur Têt. Par contre, vous les trouverez dans les albums photos d'Ille. Ces deux fontaines étaient des lieux de pique-nique (et de camping pour la Font d'en Fric) pour les habitants de Bouleternère. De même, je n'ai pas mis la fontaine au blason du fait qu'elle est mise dans le "parcours touristique de Bouleternère".
  • 37

    Les dolmens autour de Bouleternère

    Les dolmens autour de Bouleternère

    Attention ; Seuls les dolmens des Rières et du dolmen de la Llosa sont sur le territoire de Bouleternère. Les autres sont sur le territoire de Saint-Michel de Llotes. Petite particularité ; Le dolmen de la Font del Boule n'est pas répertorié sur les cartes et n'a pas de nom. J'ai utilisé le lieu où il se trouve pour lui attribuer son nom.
  • 11

    Le moulin à huile des Auxelles

    Le moulin à huile des Auxelles

    Ancien moulin, devenu point de vente d'huile d'olive, qui tire son nom du ruisseau qui alimentait le moulin en eau; le ruisseau de les Auxelles. Les propriétaires actuels, Jacqueline et Jean Reig, après avoir nettoyé ce moulin, ont pu récupérer d'anciens outils de l'époque ainsi qu'une vielle lessiveuse et des boulets de catapulte.
  • 18

    Les tours de guet des Castellars et le Dolmen de la Font del Boule

    Les tours de guet des Castellars et le Dolmen de la Font del Boule

    Cette série de photos concerne les deux tours des Castellars et le dolmen de la Font del Boule. Ces deux tours et ce dolmen ne sont pas répertoriés sur les cartes. Il y a aussi quelques vestiges d'anciens batiments (Habitations, cortals...). Concernant les tours, il ne reste que des vestiges où l'on peut voir la base des tours seulement. Concernant le dolmen, il est, pour ainsi dire, dans le même état que celui des Rières. Parcours pour aller au Dolmen : Carte au 1/25000 : les-tours-des-castellars-et-le-dolmen-de-la-font-del-boules.pdf (2.02 Mo) Trace GPS : les-tours-des-castellars-et-le-dolmen-de-la-font-del-boules.gpx (64.95 Ko)  
  • 26

    Les Pedrères

    Les Pedrères

    La première série de photos concerne l'ancienne carrière de marbre qui fut exploitée au XVIIe et XVIIIe siècle. Carte pour y accéder ; parcours-pour-la-carriere-de-marbre.pdf (2.01 Mo) Ensuite, et je remercie Jérôme PAVON, les photos suivantes sont sur les vestiges d'une ancienne redoute (ce n'est qu'une hypothèse) et d'un ruine de batiment avec, ce que l'on suppose, être une citerne d'eau... Et pour finir quelques ruines et une excavation naturelle avec les vestiges d'un mur. L'utilisation de cette exclavation devait être pour un enclos, une habitation... Mais ce ne sont que des hypothèses. 
  • 15

    Carrière de Schistes de Bouleternère

    Carrière de Schistes de Bouleternère

    Carrière et Entreprise de Schistes "de Serrabone" qui arrêta son activité dans les années 1990.
  • 37

    Casefabre

    Casefabre

    Casefabre est mentionné en 981 dans un précepte émanant du roi Lothaire de France (Catafabricae). Le lieu est alors possession de l'abbaye de Saint-Génis-des-Fontaines. Au XIIe siècle Casefabre est cédé à l’abbaye Saint-Martin du Canigou, et ce jusqu'au XVIIIe siècle. L'église Saint-Martin de Casefabre était une possession de l'abbaye bénédictine de Saint-Génis-des-Fontaines. De cette époque, n'ont survécus, suite à un tremblement de terre, que quelques portions de mur au nord et le plan resserré au niveau du chœur de la nef. L'édifice est ensuite reconstruit au XIe et XIIe siècles et agrandi au XIIIe ou XIVe siècle. Enfin, au début du XIXe siècle, une nouvelle entrée a été créée du côté de l'abside.
  • 28

    Casenoves

    Casenoves

    Lien pour les explications historiques : http://www.ille-sur-tet.com/index.php/a-voir/casesnoves
  • 26

    Chapelle de la Trinité de Prunet-et-Belpuig

    Chapelle de la Trinité de Prunet-et-Belpuig

    L'église de Belpuig est pour sa part essentiellement romane, même si sa consacration remonte à l'an 953. Elle était alors dédiée à saint Pierre (Sant Pere de la Serra), tandis que l'édifice actuel est voué à la sainte Trinité. À noter son abside semi-circulaire avec lésènes (bandes lombardes), et sa porte en arc brisé dont les ferrures, remarquablement conservées, dateraient du XIIe siècle. Elle abrite quelques pièces exceptionnelles, en particulier un Christ en croix habillé du XIIe siècle, mais aussi un ciboire du XIIIe et une croix processionnelle en bois peint du XIVe avec un superbe visage du Christ. Le retable du maître-autel, qui porte la date de 1732, est dédié pour moitié à la Trinité, pour moitié à saint Pierre. Un autre retable latéral (fin XVIIe siècle ?) porte un grand haut-relief représentant la Trinité, également présente dans un petit ex-voto naïf. À noter enfin une petite Vierge à l'Enfant romane venue de l'église de Prunet.
  • 17

    Corbère de Dalt

    Corbère de Dalt

    Les XIIème et XIIIème siècles furent des périodes de grande incécurité. A cette époque, et malgré la construction de remparts à partir de 1360 aux abords du château (daté du XIIème siècle), le village de Corbère de Dalt fut abandonné au profit des villages de Corbère et Corbère les Cabanes.
  • 32

    Domanova

    Domanova

    Au moyen-âge, aux environs du petit village de Crozes est construite une maison seigneuriale fortifiée au nom évocateur, "Doma nova",autrement dit "la maison neuve". Le lieu est mentionné en 942. Telle est l'origine de l'ermitage. Une famille de chevaliers-paysans habite les lieux, elle s'appelle tout naturellement Domanova. Au XIe siècle, on construit le château de Rodès, car Domanova n'est pas assez sur et n'a plus d'importance stratégique. La population abandonne peu à peu l'ancien village dépourvu de sécurité pour se réfugier au pied des murailles du nouveau château. Donc Domanova (Crozes) est abandonnés au fur et à mesure que la population émigre vers la nouvelle forteresse. Mais en 1571, à la suite d'un accord passé entre les syndics de Rodès et le curé de Domanova, ce dernier s'engage à dire la messe dans l'église de Rodès, construite au XIVe siècle, et ne célébrera l'office à Domanova que six jours dans l'année, notamment le 8 mai (fête de la Nativité de la Vierge).L'église autrefois paroissiale trouve une nouvelle vocation, et devient en quelques années un ermitage réputé.    A noter : Plusieurs de mes parcours passent ou longent Domanova.
  • 15

    Ermitage de Saint-Maurice et la Chapelle Notre Dame de Greolera

    Ermitage de Saint-Maurice et la Chapelle Notre Dame de Greolera

    LIen sur l'ermitage : http://www.ille-sur-tet.com/index.php/a-voir/saint-maurice
  • 74

    Ille sur Têt

    Ille sur Têt

    Lien officiel de la Mairie d'Ille sur Tet : http://www.ille-sur-tet.com/
  • 19

    Les gorges de la Guillera

    Les gorges de la Guillera

    Cette série de photos est présentée de façon chronologique en venant de Bouleternère et en allant à Rodes. Certaines personnes pensent que le pont-aqueduc (Pount de Labau) et les vestiges de l'aqueduc de Roqua Colomera seraient des ouvrages romains.
  • 20

    Mantet

    Mantet

    Mantet est le dernier village de France à avoir été équipé d'une route en... 1963.
  • 28

    Marcevol

    Marcevol

    Le territoire sur lequel Marcevol s'est développé était habité au néolithique tardif (-2500 à -2000). Cette époque était caractérisée par l'érection de monuments mégalithiques, or ici se trouve encore de nos jours le dolmen de la Barraca. Le village lui-même s'est créé autour du Prieuré qui s'est construit dès les premiers temps du Moyen-Age. Comme s'était souvent le cas, les moines qui y vivaient avaient besoin d'un certain nombre de services qui leurs étaient fournis en échange de leur protection. Pour mieux assurer cette protection, les habitants des environs se sont regroupés auprès des bâtiments ecclésiastiques, formant un embryon de village qui a disparu en même temps que l'activité du prieuré. De nos jour il reste l'église de Notre Dame de la Gradas (Notre Dame des degrés, en référence à l'escarpement), qui est l'église fortifiée du village en ruine de Marcevol. Elle remonte au XIe siècle (première mention en 1088), soit avant la construction du prieuré (1128-142), mais l'enceinte est un peu plus récente. Cette église est devenue paroissiale en 1163, elle reçu de nombreux bénéfices durant le XIIe siècle, puis un chapitre de l'ordre du St Sépulcre de Jérusalem, avant la création du prieuré de Marcevol. Notre Dame est typique d'une construction de la 2ème moitié du XIème siècle. Sa nef est voûtée en berceau en plein cintre, son chevet est décoré avec des arcatures aveugles. De nos jours, le hameau est rattaché à Arboussols.
  • 25

    Montalba le Château

    Montalba le Château

    Lien pour mieux connaitre Montalba le Château : http://pyreneescatalanes.free.fr/Villages/Histoire/MontalbaLeChateau.php
  • 26

    Photos de chapelles, églises et oratoires

    Photos de chapelles, églises et oratoires

    Photos d'églises, de chapelles et d'oratoires prises lors de mes randonnées.
  • 26

    Photos de Mas et de constructions diverses

    Photos de Mas et de constructions diverses

    Photos de Mas et constructions diverses prises lors de mes randonnées.
  • 7

    Pou del Gel (Puits à neige, ou puits à glace) de Roca Roja

    Pou del Gel (Puits à neige, ou puits à glace) de Roca Roja

    Les puits à neige, ou à glace, (Pou del gel en catalan) remonteraient à partir du XVIIe siècle. Les premiers puits bâtis ont été soit semi enterrés, soit complètement enterrés comme celui de Roca-Roja. Ils sont habillés de pierres appareillées et enduites. La neige était jetée, par le trou du haut et elle était tassée. La glace était sortie par "l'entrée" du bas. La nuit, les "neigeurs" montaient au puits, découpaient des pains de glace qu'ils protègaient de sacs de jute humides, les chargaient sur des mulets et redescendaient au village avant le lever du soleil pour les livrer. Ce Pou del gel de Roca-Roja, qui est en parfait état, aurait alimenté en glace l'hôpital de Perpignan.
  • 49

    Rodès

    Rodès

    Plusieurs liens pour Rodès : Pour l'histoire ; http://rodes.pagesperso-orange.fr/index.html Pour les randonnées ; http://rodes-ceres.weebly.com/ Mairie ; http://www.ville-rodes.fr/France/accueil_france.html   L'église Jusqu'au XVIème siècle, l'église paroissiale du village était celle de Domanova. Le village de Rodès possédait seulement, depuis le XIVème siècle, une chapelle dédiée aux deux Saint-Jean (L'évangéliste et le Baptiste). L'édifice; A l'origine, il s'agit d'une chapelle romane dont le chevet était orienté vers l'Est. Cet édifice a subi  d'importantes transformations au début du XVIIème siècle. A cette époque, le choeur a été déplacé à l'Ouest, et l'ancien chevet est devenu un clochet-tour. Des croisées d'ogives en briques ont été également ajoutées, ainsi que la nef latérale.  
  • 43

    Saint Michel de Llotes

    Saint Michel de Llotes

    A la différence d'autres villages, les habitations de Saint Michel de Llotes ne sont pas concentré autour de son église mais répartis en mas et en veïnats (hameaux) sur l'ensemble du territoire de la commune.   L'église, bien entendu dédiée à Saint Michel, c'est un édifice roman datable du XIe ou du XIIe siècle, avec une belle abside semi-circulaire à arcatures aveugles. Elle a été plusieurs fois agrandie, d'abord au XIVe siècle (construction d'une chapelle voûtée au nord), puis aux XVIIe et XVIIIe siècles (sacristie datée de 1702, le clocher a été surélevé dans cette période) et enfin au XIXe (construction de deux petites chapelles latérales). L'église a été entièrement restaurée ces dernières années. Parmi le mobilier, on notera une belle Vierge à l'Enfant d'inspiration romane (XIVe siècle), le retable du maître-autel (première moitié du XVIIIe siècle), ainsi que les retables du Rosaire et du Christ. A signaler aussi une superbe cloche du XVIIIe siècle et la cadireta de la Vierge (dorée en 1735).
  • 35

    Serrabone

    Serrabone

    La plus ancienne mention du lieu remonte à 1069, date à laquelle une église paroissiale dédiée à la Vierge est citée. Treize ans plus tard, en 1082, un collège de chanoines de l'ordre de Saint Augustin est établi dans les lieux. L'édifice fera alors l'objet d'importants travaux d'agrandissement et d'embellissement. La nouvelle collégiale est consacrée en 1151 par l'évêque d'Elne. Le collège était mixte, car comprenant des hommes et des femmes (qualifiées de converses). L'apogée du prieuré fut de courte durée : les troubles commencent aux XIIIe et XIVe siècles avec l'individualisme croissant des chanoines (maisons privatives au lieu de partager des lieux de vie commune comme le stipulait la règle). La décadence devient alors inéluctable et atteint un tel degré au cours du XVIe siècle que le pape sécularise alors le prieuré, comme tous ceux rattachés à la règle de Saint Augustin en Espagne. Rattachée à Solsona en Catalogne (nouveau diocèse établi à cette époque), la collégiale devient église paroissiale et tombe lentement dans l'abandon et l'oubli. Au début du XIXe siècle, toute la partie occidentale de l'église s'effondre, minée par les intempéries. On n'hésite pas non plus à démonter, dans le cloître, la rangée intérieure de colonnes et chapiteaux pour constituer un retable dans l'abside. Les lieux deviennent par la suite la propriété d'un particulier, qui entreprend des travaux de restauration dans les années 1900 (le début du XXe siècle marque le début d'une période, déjà amorcée au XIXe siècle, de redécouverte du patrimoine local) et qui se poursuivirent tout au long du XXe siècle.